En route se succèdent d’opulentes demeures et des bidonvilles ; avant le carrefour c’est chemise-cravate-SUV et résidence surveillée, après c’est… la merde. La vraie, celle dont on ne sort pas. Plus de modestes ici, point de pauvreté, non, pour certains c’est la merde, les caniveaux et la mort, dans l’indifférence générale et au milieu des détritus. Car hélas et parmi tant d’autres, l’Inde a toujours un problème de propreté… un gros !